Oui, les fautes d’orthographe sont nombreuses et me lire peut-être un supplice. Je sollicite votre indulgence.
jeudi 24 septembre 2015
vendredi 18 septembre 2015
Dualité
Depuis toujours en moi le besoin d'exister s'oppose à celui de ne plus être, une lutte épuisante à la limite de la folie.
Je passe une période très difficile et encore une fois dans la solitude et l'indifférence la plus absolue.
Si je devais être mal ou passé au dernier acte de ma vie, il se passerait des jours avant qu'on trouve mon corps.
Triste constat que celui que je fais là, je fais partie de cette franche de la population oubliée par le nombre, la famille et les amis.
Que me faut-il penser, de Fabienne, mon seul grand et vrai amour qui depuis mon opération, mes changements, ne me touche plus.
Par son dégoût de celle que je suis et son éloignement elle a fait de moi une paria, une chose.
Elle nie mon existence et je sais que si un jour je devais avoir besoin de soin, son dégoût de moi prendrait toujours le dessus.
Oh elle ferait intervenir d'autres, mais si l'urgence se présentait, je sais que cela serait la fin pour moi.
Il y a toujours autour de moi, des bien pensants pour me faire morale et leçon, mais que savent-ils de moi, de mes souffrances et de mon parcours ?
Rien ou presque et pourtant à les entendre, ils sont des experts en tout ce qui me concerne, ils aiment à se grandir à mes dépends.
En moi, le sentiment de solitude grandie de jour en jour tout comme le sentiment d'inutilité.
Mon besoin de pouvoir faire confiance pour une fois dans ma vie en une personne, reste insatisfait et seule la déception et le sentiment de trahison sont présents.
Je suis de celle qui poursuive leurs idéaux, sans jamais y parvenir, oui je suis pathétique et un rien ingénu.
Plus le temps passe et plus je perds espoirs en vous, en moi.
Aujourd'hui entendre la voix de Julien, à apaiser mes pleures et mon envie d'en finir.
Je n'ai que quatre ans et t'en à découvrir de cette nouvelle vie.
Toujours en lutte pour mes droits, il me faut abattre des montagnes, combattre les lourdeurs de notre société et de son administration.
Il me faut justifier mon existence et subir moqueries, jugements de toutes natures.
La tolérance semble avoir oublié non-existence et la vie se joue de mes espoirs et besoins.
Ma santé n'est pas au mieux que ce soit physiquement ou mentalement.
Je sais être dans une phase dépressive, je pleure pour un rien.
Vivre par désespoir ne peux être acceptable sur la durée.
jeudi 17 septembre 2015
Un photo
Voilà une photo qui résume qui je suis.
Pour beaucoup cette plante est inutile et pour d'autre elle a sa place, certain la trouve même belle.
Le regard que vous portez sur cette plante ne change rien à celle quelle est, mais il peut donner espoir ou pas.
La tolérance beaucoup la nome, mais peu l'utilisent pour autrui.
Pour beaucoup cette plante est inutile et pour d'autre elle a sa place, certain la trouve même belle.
Le regard que vous portez sur cette plante ne change rien à celle quelle est, mais il peut donner espoir ou pas.
La tolérance beaucoup la nome, mais peu l'utilisent pour autrui.
mardi 15 septembre 2015
Mon travail me manque, il me manque cruellement !
Mon travail me manque, il me manque cruellement.
Le contacte avec ses jeunes et moins jeunes que beaucoup rejettent me manque.
Par bien des égards je me sens proche deux et je suis riche de leurs histoires, de leurs parcours.
Les voir entrer en formation, me comble et je suis fière d'eux.
Quand au détour d'une rue, je les croise et qu'ils me parlent de leur nouvelle vie cela me réchauffe le cœur.
J'espère au plus vite, reprendre le chemin de mon travail.
Mon travail me manque, il me manque cruellement !
Le contacte avec ses jeunes et moins jeunes que beaucoup rejettent me manque.
Par bien des égards je me sens proche deux et je suis riche de leurs histoires, de leurs parcours.
Les voir entrer en formation, me comble et je suis fière d'eux.
Quand au détour d'une rue, je les croise et qu'ils me parlent de leur nouvelle vie cela me réchauffe le cœur.
J'espère au plus vite, reprendre le chemin de mon travail.
Mon travail me manque, il me manque cruellement !
lundi 14 septembre 2015
samedi 12 septembre 2015
jeudi 10 septembre 2015
Une bonne raison
Période difficile !
La santé n'est pas au mieux et le moral est en berne, les
finance au plus bas, mon travail me manque, je ne sens inutile.
Certain par leur non dits et posture aime à me faire passer
pour celle que je ne suis en rien.
Non je ne suis pas le centre de ma vie, je me dédie aux
autres dans mon quotidien, mon travail et dans le bénévolat.
Avant de porté jugement sur moi, il serait bien plus noble
pour vous de prendre le temps de m'apprendre.
Une fois de plus je ne suis pas comprise, beaucoup voient
jalousie et possessivité dans mes actes, mais il n'y a rien de tout cela, juste
mon besoin de pouvoir faire confiance en l'autre une fois dans ma vie.
Alors, oui je m'attache à la parole donnée, aux mots
prononcés, mais surtout aux actes.
On cicatrise de ses blessures, mais il reste toujours des
boursouflures, des rougeurs, pour moi 7 longues années d'incestes et un viol en
réunion ont laissé en moi le besoin de sécurité et une grande peur de
l'abandon.
Depuis quelques mois en moi de grands changements s'opèrent
et les événements de ces derniers jours les accélèrent.
Je ne veux plus subir et une mise au point avec mon
entourage est devenue indispensable.
Des personnes qui me sont chères ne me touchent plus depuis
mon opération, mes changements, depuis que je suis moi.
Leurs dires combien vivre cela me fait du mal n'a rien
changé, je reste celle qui a la peste.
Que dire de ces autres, qui en mon absence utilisent le (il)
à mon propos.
Enfin ceux qui n'ont pas le temps pour un appel et ceux qui
ont profité de ma générosité.
Tous ont une bonne raison pour justifier le mal qu'ils me
font.
J'assume en totalité celle que je suis comme mes écrits et
mes dires.
Il me faut trouver très vite un sens à ma vie.
Libellés :
cancer,
les cordes,
Ma sexualité,
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ne plus vivre,
Pierre,
Vision,
vous
mercredi 2 septembre 2015
Serait-il possible!
Serait-il possible!
Humanité, me serait-il consenti d'en faire partie.
Serait-il possible, un jour de vivre la chaleur d'une étreinte.
Serait-il possible, de vivre votre affect plutôt que vos reproches et leçons.
Serait-il possible, d'avoir considération et respect.
serait-il possible, que je fasse partie de votre vie sans préjugés.
Serait-il possible, de vivre le bonheur sans qu'il soit éphémère.
Serait-il possible, que votre amitié soit indéfectible.
Serait-il possible, de me reposer sur vous en toute confiance.
Serait-il possible, que la vie est une autre saveur.
Je vous le demande.
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