Des l'armes à l'épuisement.
Avec force toujours cachée ma penne, mes sanglots étouffés dans mon oreiller humide chaque nuits, en position fœtale dans un coin de la chambre j'attends l'épuisement.
Ma mélancolie ne semble pas avoir de fin, elle me murmure à quoi bon, le manque me dit pourquoi et voilà que j'ai à nouveau peur.
La vie pour combien de temps encore, le changement en espoir je continue mon chemin un pas après l'autre, je marche.
Toujours à la limite au bord du gouffre, je ne vois pas de sortie, d'autre solution à ce manque.
Aux éventuelles questions sur mon mal-être, je réponds par une boutade ou fin de ne pas comprendre.
L'envie n'est plus, l'amer reste.
Avec force toujours cachée ma penne, mes sanglots étouffés dans mon oreiller humide chaque nuits, en position fœtale dans un coin de la chambre j'attends l'épuisement.
Ma mélancolie ne semble pas avoir de fin, elle me murmure à quoi bon, le manque me dit pourquoi et voilà que j'ai à nouveau peur.
La vie pour combien de temps encore, le changement en espoir je continue mon chemin un pas après l'autre, je marche.
Toujours à la limite au bord du gouffre, je ne vois pas de sortie, d'autre solution à ce manque.
Aux éventuelles questions sur mon mal-être, je réponds par une boutade ou fin de ne pas comprendre.
L'envie n'est plus, l'amer reste.
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