4 ans et 27 jours !
Depuis trois mois des images de mon passé hantent mes nuits et voilà que je replonge dans la douleur.
Je ne parviens pas en m'en défaire, elles sont dans ma tête.
Je ressens à nouveau les coups, la douleur et tout, le sale de ce soir-là.
La douleur dans mon intime, les coups sur mon visage, leurs rires et toute leur haine à mon égard.
Encore sur moi l'odeur de leurs sécrétions corporelles, là douleur vive dans mon intime et les cracha sur mon visage.
En moi encore cette peur, la honte et toute mon impuissance.
Écrits ses quelques lignes restent difficiles et mon cœur se serre, voilà que j'étouffe.
Il y a en moi encore de la colère et du désespoir.
Oui de la colère, celle de n'avoir pu me défendre face à ces cinq êtres vils.
Que dire de la suite, de la réaction de ceux qui auraient dû être un soutien, de par leur rôle et du fait qu'ils sont dépositaires de l'autorité.
Leur incrédulité et les mots prononcés à mon endroit, m'ont laissée un goût amer en bouche et un sentiment d'injustice.
Oui aujourd'hui, il y a encore des hommes, des femmes pour qui une femme reste coupable de la violence qu'elle subissent.
Alors, une comme moi !
Depuis trois mois des images de mon passé hantent mes nuits et voilà que je replonge dans la douleur.
Je ne parviens pas en m'en défaire, elles sont dans ma tête.
Je ressens à nouveau les coups, la douleur et tout, le sale de ce soir-là.
La douleur dans mon intime, les coups sur mon visage, leurs rires et toute leur haine à mon égard.
Encore sur moi l'odeur de leurs sécrétions corporelles, là douleur vive dans mon intime et les cracha sur mon visage.
En moi encore cette peur, la honte et toute mon impuissance.
Écrits ses quelques lignes restent difficiles et mon cœur se serre, voilà que j'étouffe.
Il y a en moi encore de la colère et du désespoir.
Oui de la colère, celle de n'avoir pu me défendre face à ces cinq êtres vils.
Que dire de la suite, de la réaction de ceux qui auraient dû être un soutien, de par leur rôle et du fait qu'ils sont dépositaires de l'autorité.
Leur incrédulité et les mots prononcés à mon endroit, m'ont laissée un goût amer en bouche et un sentiment d'injustice.
Oui aujourd'hui, il y a encore des hommes, des femmes pour qui une femme reste coupable de la violence qu'elle subissent.
Alors, une comme moi !
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