dimanche 31 août 2014

Enfin !

Bientôt la reprise, enfin !
Il me tarde de retrouver les stagiaires, mon travail me passionne à plus d'un titre.
Six mois, qui s’annoncent intenses avec je l'espères la concrétisation des projets des stagiaires.

mercredi 27 août 2014

J'apprends


J'apprends à ne plus aimer, exercice difficile et au combien douloureux, destructeur.
J'apprends à ne plus m'attacher à lui à vous.
J'apprends que la solitude est une amante possessive !
J'apprends d'autres centres d'intérêts.
J'apprends à ne plus avoir d'espoir, d'envies et de besoins.
J'apprends à la lecture de mes textes que rien ne change et que je fais du sur place, que je suis une conne.

mardi 19 août 2014

Voilà les nouvelles du jour.

Une page se tourne.
En septembre je reprends du service pour six mois.
Toujours au même centre de formation, le travail est tout ce qu'il me reste.
La page d'un été difficile se tourne avec un bilan qui n'est pas brillant, comment le pourrait-il.
Il me faut me rendre à l'évidence, il y a des choses qui restent immuables.
Je suis perçue par beaucoup comme un monstre et ils éprouvent pour moi de l'aversion du dégoût.
Contre cela je ne peux rien faire, il y a aussi ceux qui veulent bien être avec moi, mais attention personne ne doit le savoir ou nous voir ensemble.
Les mots, affecte et bonheur ne font pas parties de ma vie, le prix à payer pour être moi.
Je me sens de plus en plus seule et plus abandonné que jamais !
J'espère que mon travail va me sortir de mes idées noires, de la spirale du dégoût de la vie.

Voilà les nouvelles du jour.

Comme le sable


Comme le sable file entre les doigts, je sens que le lien qui me lie à lui devient à chacune de ses rencontres plus fragile.
Comme le sable, plus je sers ma main et plus vite il file, mes cauchemars prennent vies et m'éloignent de lui.
Le jour de notre adieu arrive à grands pas, je garderais de lui sa douceur, son regard intense et son humour.
Il ne me restera que des souvenirs encrés dans mon cœur, la saveur de ses baisés et des photos accrochées aux murs de l'appartement.
Une consolation, le savoir bien dans les bras d'une autre, enfin heureux.
Je ne sais pas de quoi sera fait demain, ni si je veux un demain !

dimanche 17 août 2014

Vous me tuez !


Vous me tuez !

Avec vos regards, vos petites phases prononcer en mon absence.
Par votre hypocrisie, votre envie de me voir loin des regards, pour une aventure exotique sans lendemain.
Vous ne voyez en moi qu'une solution de secours, la bonne copine, votre confidente.
Vous alimentez un espoir, pour mieux m'en priver.
Vos belles phases issues de livres d'un autre temps et empreint de moral, votre façon de culpabiliser toute personne qui exprime sa souffrance au simple fait qu'elle vous dérange ou par peur que les vôtres resurgissent du plus profond de vous.
Vous avez le droit de ne pas m'aimez, mais pas celui de me détruire !
Vous pensez tout savoir sur tout, sur moi, il n'en est rien.