Il ne se passe pas un jour sans que l'on exerce sur moi des pressions sociales, morales, physiques, affectives ou matériels.
A toujours devoir me battre, me défendre, j'ai fini par oublier la femme que je suis pour n'être qu'une guerrière.
Une guerrière qui maltraite la femme, son corps, son esprit et son âme.
Je suis lasse de cette vie, lasse du rôle qui m'est dévolu.
Combien, je voudrais être en mesure de poser mes valises et vidé un peu de ce trop plein.
La femme voudrait rependre son souffle, vivre le fragile qui est en elle, lâché prise.
Qu'il est triste de trouver dans la douleur, l'aisance pour l'écriture.
Misérable celle qui ne parvient à rien de durable, stable ou viable.
A toujours devoir me battre, me défendre, j'ai fini par oublier la femme que je suis pour n'être qu'une guerrière.
Une guerrière qui maltraite la femme, son corps, son esprit et son âme.
Je suis lasse de cette vie, lasse du rôle qui m'est dévolu.
Combien, je voudrais être en mesure de poser mes valises et vidé un peu de ce trop plein.
La femme voudrait rependre son souffle, vivre le fragile qui est en elle, lâché prise.
Qu'il est triste de trouver dans la douleur, l'aisance pour l'écriture.
Misérable celle qui ne parvient à rien de durable, stable ou viable.
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